Réglementations, guides et cartes
- CoBAT : Code Bruxellois de l’Aménagement du Territoire
- VCRO : Code flamand de l’aménagement du territoire
- CoDT : Code Wallon de l’aménagement du Territoire
- Plan de secteur : « Le plan de secteur est un outil réglementaire d’aménagement du territoire et d’urbanisme régional wallon constitué de plusieurs couches de données spatiales. »
Ce plan détermine les zones où l’on peut construire, cultiver, implanter une industrie… Ne pas le respecter lors d’un permis est ce que l’on appelle une dérogation qui peut être autorisée selon les règles de l’article D.IV.13 du CoDT : « Un permis ou un certificat d’urbanisme n°2 peut être octroyé en dérogation au plan de secteur ou aux normes du guide régional d’urbanisme si les dérogations :- 1° sont justifiées compte tenu des spécificités du projet au regard du lieu précis où celui-ci est envisagé ;
- 2° ne compromettent pas la mise en oeuvre cohérente du plan de secteur ou des normes du guide régional d’urbanisme dans le reste de son champ d’application ;
- 3° concernent un projet qui contribue à la protection, à la gestion ou à l’aménagement des paysages bâtis ou non bâtis. »
- Affectation des sols Schéma de développement pluricommunal
- Schéma de développement communal : le Schéma de Développement Communal (SDC – Art. D.II.9 et ss du CoDT) est un des deux schémas communaux. Il est établi à l’initiative du conseil communal et approuvé par le Gouvernement. Le SDC définit la stratégie territoriale pour l’ensemble du territoire communal sur la base d’une analyse contextuelle. Le CoDT a voulu concevoir ce schéma comme un outil qui, d’une part, assure la pérennité de l’ancien Schéma de Structure Communal (SSC) et, d’autre part, permet d’envisager une approche plus prospective de la gestion du territoire communal. La stratégie territoriale du SDC définit les objectifs communaux de développement territorial et la manière dont ces objectifs déclinent les objectifs régionaux du Schéma de Développement du Territoire (SDT) ou le cas échéant du ou des Schémas de Développement Pluricommunaux (SDP), les principes de mise en œuvre de ces objectifs, et la structure territoriale.L’ancien Schéma de Structure Communal (SSC) défini dans le CWATUP est assimilé au SDC. Comme le SSC, le SDC a une valeur indicative. Il s’applique au SOL, au Guide Communal d’Urbanisme (GCU) ainsi qu’à toute décision prise en matière de permis, certificats, déclarations et de politique foncière. Une commune ne peut se doter que d’un seul SDC. Au niveau cartographique, la couche de données des SDC intègre les périmètres identifiés dans les anciens SSC au sens du CWATUP.
- Schéma d’orientation local : le schéma d’orientation local (SOL – Art. D.II.11 et ss du CoDT) est un des deux schémas communaux. Il est établi à l’initiative du conseil communal sur une partie du territoire de la commune et y détermine les objectifs d’aménagement du territoire et d’urbanisme. Outre ces objectifs, le SOL contient la carte d’orientation, et les indications relatives à l’implantation et à la hauteur des constructions et des ouvrages, aux voiries et aux espaces publics, ainsi qu’à l’intégration des équipements techniques, en cas de dispense de permis d’urbanisation lors de la division d’un bien en lots. Le CoDT assimile au SOL, d’une part le Plan Directeur (PLD) et le Plan Communal d’Aménagement (PCA) définis dans le CWATUP qui perdent leur valeur réglementaire et, d’autre part, le Schémas Directeur (SCD) et les Rapports Urbanistiques et Environnementaux (RUE) qui conservent leur valeur indicative. Le SOL a une valeur indicative et s’applique au Guide Communal d’Urbanisme (GCU) ainsi qu’à toute décision prise en matière de permis, certificats, déclarations et de politique foncière. Une commune peut se doter d’un ou plusieurs SOL (CoDT – Art. D.II.9). Au niveau cartographique, la série de couches de données des SOL regroupe les périmètres identifiés dans les anciens PLD, PCA, SCD et RUE au sens du CWATUP ainsi que les nouveaux SOL initiés sous le CoDT.
- Guide communal d’urbanisme : le Guide Communal d’Urbanisme (GCU) devient un des outils d’orientation en matière d’urbanisme à l’échelle communale. Il concerne tout ou partie du territoire communal et traite d’une ou plusieurs thématiquesIl décline les objectifs de développement territorial du Schéma de Développement du Territoire (SDT), du Schéma de Développement Pluricommunal (SDP) et des schémas communaux en objectifs d’urbanisme, par des indications, en tenant compte des spécificités du ou des territoires sur lesquels il porte (CoDT – Art. D.III.4). Dans le respect de certaines conditions, la Commune devra être en possession d’un GCU pour pouvoir profiter d’un régime dit « de décentralisation » qui autorise la commune à exercer, de manière autonome, son pouvoir de décision, notamment en matière d’octroi de permis d’urbanisme et d’urbanisation. Les Règlements Communaux d’Urbanisme (RCU) et les Règlements Communaux de Bâtisses (RCB) au sens du CWATUP sont assimilés à des GCU. Ceux-ci possédaient auparavant valeur réglementaire. Dans le CoDT, le GCU ne comporte que des indications (valeur indicative) compilées dans un document unique. Le contenu du GCU est défini dans le CoDT (Art. D.III.5) de manière similaire à celui du Guide Régional d’Urbanisme (GRU – Art. D.III.2 §1). Un permis d’urbanisme peut donc être octroyé en s’écartant du contenu du GCU moyennant motivation démontrant que le projet ne compromet pas les objectifs de développement territorial, d’aménagement du territoire ou d’urbanisme contenus dans le guide et contribue à la protection, à la gestion ou à l’aménagement des paysages bâtis ou non bâtis. Un GCU peut s’écarter du contenu à valeur indicative du GRU moyennant une motivation et ce sous conditions. Sur un territoire donné, quand le GRU et un GCU prévoient des indications sur un même thème, il est fait application des indications du GCU. En cas de contradiction entre une indication d’un GCU préexistant et une indication ou une norme du GRU entrant en vigueur ultérieurement, il est fait application de l’indication ou de la norme du GRU. Au niveau cartographique, la série de couches de données des GCU regroupe les périmètres identifiés dans les anciens Règlements Communaux d’Urbanisme (RCU) et les anciens Règlements Communaux de Bâtisses (RCB).
- Guide régional d’urbanisme : le Guide Régional d’Urbanisme (GRU) devient le seul outil d’orientation en matière d’urbanisme à l’échelle régionale. Il est adopté par le Gouvernement wallon et décline, pour la Wallonie ou pour une partie de son territoire dont il fixe les limites, les objectifs de développement du territoire du schéma de développement du territoire en objectifs d’urbanisme, par des indications et des normes, en tenant compte, le cas échéant, des spécificités du ou des territoires sur lesquels il porte […] (CoDT – Art. D.III.1). Le GRU regroupe donc des normes (valeur réglementaire) et des indications (valeur indicative) urbanistiques dans un document unique. Il permet de faciliter la requalification des centres de villes et de villages, de développer des projets architecturaux contemporains et de permettre aux villes et villages wallons de conserver leurs qualités et leurs identités propres. Le GRU compile les informations qui figuraient dans les documents suivants au sens du CWATUP :
- Le Règlement général sur les bâtisses en site rural (RGBSR) qui a désormais valeur indicative;
- Le Règlement général d’urbanisme relatif aux enseignes et aux dispositifs de publicité qui a désormais valeur indicative;
- Le Règlement général sur les bâtisses applicables aux zones protégées de certaines communes en matière d’urbanisme (RGBZPU). Une partie du règlement présente désormais une valeur indicative (correspondant aux articles 395, 396, 397, 399, 400 et 402 du CWATUP). Par contre, l’autre garde une valeur réglementaire (correspondant aux articles 393, 394, 398, 401 et 403 du CWATUP);
- Le Règlement général sur les bâtisses relatif à l’accessibilité et à l’usage des espaces et bâtiments ou parties de bâtiments ouverts au public ou à usage collectif par les personnes à mobilité réduite (PMR – article 414 et s. du CWATUP), qui conserve une valeur réglementaire;
- Le Règlement d’urbanisme sur la qualité acoustique de constructions dans les zones B, C et D des plans de développement à long terme des aéroports de Liège-Bierset et de Charleroi-Bruxelles Sud (qualité acoustique-aéroports), dont la valeur réglementaire est maintenue.
- Biens classés – liste de sauvegarde : La liste de sauvegarde consiste en « une liste des biens immobiliers menacés de destruction ou de modification provisoire ou définitive, protégés à titre temporaire » (CoPat art. 3, 5°). Cette définition suppose une urgence quant à la nécessité de prendre une mesure de protection du Patrimoine.
- Aléa des inondations : Cette carte constitue un outil permettant aux autorités de prendre en compte la composante risque d’inondation lors de la remise d’avis ou la délivrance de permis d’urbanisme (notamment sur base de l’article 136 §1er, 3° du CWATUPE). La valeur aléa d’inondation élevé correspond aux zones à risque identifiées par la loi du 25 juin 1992 sur le contrat d’assurance terrestre. Elle peut être la cause d’un refus de couverture par les compagnies d’assurance.
- Zone de protection environnement
- Plan habitat permanent
- Zone captage-Cours d’eau
- PASH
- Sous-bassin hydrographique
- Lotissement
- Réaménagement
- Risque géologique et minier
- Gestion des sols
- Plan de secteur : « Le plan de secteur est un outil réglementaire d’aménagement du territoire et d’urbanisme régional wallon constitué de plusieurs couches de données spatiales. »
Sources :
- http://geoportail.wallonie.be
- http://codt.wallonie.be
- CoDT, SPW Edition, Numéro de dépôt légal : D/2017/11802/11
Intervenants
- Architecte : spécialiste de l’art de la conception des bâtiments, personnes qui assurent
la bonne mise en œuvre d’une construction. Diplôme d’architecture (5 ans)
requis et stage de 2 ans demandé pour être inscrit au tableau de l’ordre des
architectes et pouvoir signer les plans de permis. - Maître d’ouvrage (M.O.) : personne qui commande le projet. (Propriétaire)
- Maître d’œuvre ou auteur de
projet : personne auteur du projet,
suivant les cas cela peut être l’architecte, le décorateur, voire même le M.O.
(celui qui réalise les plans) - Ingénieur en stabilité : personne qui calcule et dimensionne les ouvrages spécifiques (dalles
de sol, poutres…). Diplôme d’ingénierie (5 ans) requis. - Géomètre : personne spécialisée de la levée (prise de mesure) d’un terrain,
bâtiment et du tracé de voirie, terrains… Diplôme de géomètre
requis (3 à 5 ans). - Entrepreneur : Personne ou société réalisant les travaux. Accès à la
profession requis. - Sous-traitant : Entreprise qui travaille pour l’entrepreneur, ce qui implique
que cette entreprise sous-traitante possède comme client l’entrepreneur et non
le maître d’ouvrage directement. - Agent immobilier : spécialiste des transactions immobilières (vente de bâtiments,
terrains…). Diplôme d’un graduat avec finalité construction et numéro IPI
requis. - Responsable PEB : personne responsable de tout ce qui concerne la consommation de
l’énergie primaire du bâtiment. Il devra réaliser un rapport grâce à un
encodage de données dans le logiciel PEB. (Pour les bâtiments neufs) - Certificateur PEB : personne qui rédige un certificat PEB qui donne un indication de
consommation (A, B…..) d’un bâtiment déjà existant. - Auditeur PAE : L’audit énergétique ou procédure d’avis énergétique PAE2 va plus loin
que la certification PEB. Le rapport détaille les différents points
d’améliorations par ordre de priorité. L’amélioration de l’enveloppe passe
avant l’optimisation des systèmes de chauffage ou d’eau chaude sanitaire.
Source : https://certificateurpeb.be/services/audit-energetique-pae2/
Terminologie technique (documents)
- L’échelle du plan : Lors de la lecture d’un plan, une échelle est le rapport entre la mesure réelle et la mesure de sa représentation.
- La coupe : Une vue en coupe représente un bâtiment coupé par un plan vertical. Dans cette vue, chaque élément coupé par le plan est représenté par une ligne en gras.
Terminologie technique (chantier)
Aboutage |
C’est une opération qui consiste à produire une très grande pièce de bois en collant différentes pièces de bois bout à bout. |
Absorption |
Désigne le fait d’absorber une part de l’onde sonore ou de l’énergie thermique. |
Acrotère |
Petit muret placé sur toute la périphérie des toitures plates empêchant les eaux de descendre sur les murs extérieurs |
Adobe |
L’adobe est de l’« argile qui, mélangée d’eau et d’une faible quantité de paille hachée ou d’un autre liant, peut être façonnée en briques séchées au soleil ». Par extension, les briques et constructions réalisées avec cette terre. |
Afzelia |
C’est un genre de plantes dicotylédones de la famille des Fabaceae, sous-famille des Caesalpinioideae, originaire des régions tropicales d’Afrique et d’Asie, qui comprend 12 espèces acceptées. |
Agent immobilier |
Spécialiste des transactions immobilières (vente de bâtiments, terrains…). Diplôme d’un graduat avec finalité construction et numéro IPI requis. |
Aisselier |
Pièce oblique assurant la rigidité de l’angle formé par la panne faîtière et le poinçon. De manière générale, on appelle aisselier toute pièce destinée à renforcer un assemblage de charpente. |
Ajouré | Objet, mur percé d’ouvertures laissant passer la lumière. |
Allège |
Pan de mur léger ou panneau compris entre une fenêtre, un vitrage et le plancher. |
Aluminium | Métal utilisé comme revêtement de façade ou de toiture. |
Amiante |
C’est un Silicate hydraté de calcium et de magnésium (amphibole), à texture fibreuse, résistant à l’action du feu (la fabrication et la vente de produits contenant de l’amiante sont interdites, en France, depuis 1997). Interdit en Belgique depuis 1998. |
Amovible | Qui peut être enlevé, séparé. |
Amplitude |
Gain maximum du mouvement vibratoire. L’unité de mesure de l’amplitude pour une onde sonore est le décibel (dB). |
Appareillage |
C’est l’ensemble des dispositions, des choix et des techniques de mise en œuvre prises en amont d’un chantier pour établir un dessin précis de l’assemblage des maçonneries en vue de la construction d’un mur, d’une paroi, d’un soubassement ou d’un mur de soutènement. |
Appentis |
Toit à un versant dont le faîtage prend appui sur un mur. Par extension, on nomme appentis une petite construction adossée à un bâtiment plus haut. |
Appentis |
Petite construction à un seul pan de toiture, adossée à un bâtiment plus haut. La charpente de l’appentis peut être portée par des murs maçonnés et/ou des poteaux. |
Arbalétrier |
Pièce inclinée recevant les pannes intermédiaires. Une ferme possède généralement deux arbalétriers. |
Architectonique |
C’est en architecture, l’art de la construction, ce qui est conforme à l’art constituant de l’architecture, son sens étymologique grec architectoniké. |
Ardoise |
C’est une roche métamorphique issue d’une argile ayant subi un métamorphisme général faible. |
Arêtier |
Arête saillante inclinée formée par la rencontre de deux versants de toiture. C’est la ligne de partage des eaux de ruissellement. |
Argex |
L’argile expansée, également connue sous les termes d’argile cuite de galets, hydrocorns, latérite, ou plus simplement « billes d’argile », est un matériau granulaire léger constitué de petits globes de brûlé et bouffi d’argile. |
Asbeste |
C’est un Silicate hydraté de calcium et de magnésium (amphibole), à texture fibreuse, résistant à l’action du feu (la fabrication et la vente de produits contenant de l’amiante sont interdites, en France, depuis 1997). Interdit en Belgique depuis 1998. |
Autoclave |
Ce traitement protège le bois des agressions extérieures, comme les insectes ou les champignons auxquels il est exposé sous certaines conditions d’utilisation, comme par exemple une terrasse ou un bardage. |
Auvent |
Petit appentis servant à protéger de la pluie une porte ou une fenêtre. |
Ayous |
L’Ayous et Wawa sont des dénominations commerciales pour l’espèce botanique Triplochiton scleroxylon K. Schum. C’est un feuillus des régions tropicales d’Afrique de l’Ouest. |
Bardage |
Désigne un revêtement de façade uniquement fait de différentes petites pièces de bois (ou autre matière), et qui ont été fixées sur une ossature qui est elle-même posée sur la paroi. |
Bardeaux |
C’est un petit élément de revêtement permettant de protéger des intempéries les toitures et les façades. |
Barillet |
Pièce de forme cylindrique dans laquelle on introduit la clé. Le barillet appelé aussi canon amovible existe en différentes longueurs. |
Battée |
Distance en le nu extérieur du mur et la position extérieure du châssis. |
Béton |
Il est composé d’un liant (ciment), d’eau et d’agrégats qui sont des éléments exclusivement minéraux (sable, gravillons, cailloux). |
Boutisse | Tête d’une brique |
Bow-window | Ensemble de menuiseries disposées en saillie sur un mur de façade. |
Brique |
C’est un parallélépipède rectangle de terre argileuse, cuit au four ou séché au soleil. |
Briquette | Brique plein de faible épaisseur. |
Brisis | Versant inférieur fortement incliné. |
Cahier des charges |
Un programme exhaustif qui fixe des objectifs clairs, faisables du point de vue budgétaire et technique, suffisamment ouvert pour être (ré)interprété par les auteurs de projet avec créativité. |
Calepinage |
Le calepinage est le dessin, sur un plan ou une élévation, de la disposition d’éléments de formes définies pour former un motif, composer un assemblage, couvrir une surface ou remplir un volume. |
Casquette | Partie débordante d’un toit au-delà du mur de façade. |
Cèdre |
C’est un genre de conifères de la famille des Pinacées, originaire du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord et de l’Himalaya, acclimaté en Europe. |
Certificateur PEB |
Personne qui rédige un certificat PEB qui donne un indication de consommation (A, B…) d’un bâtiment déjà existant. |
Chainage |
C’est le fait de lier entre eux des éléments pour les rendre solidaires. |
Chaise |
Utilisé pour désigner un support en bois qui permet de tendre une ficelle. |
Chant | La longueur de la brique |
Chantignole | La moitié d’une brique en longueur |
Chanvre |
C’est une sous-espèce de plantes de l’espèce Cannabis sativa, famille des Cannabacées. Le terme « chanvre » désigne aussi, par métonymie, la fibre textile tirée de cette plante |
Chaume |
C’est un mode de couverture, constitué de paille de blé, de paille de seigle (ou glui), de tiges de roseaux (ou sagne), mais aussi de genêts et de bruyères. |
Cheneaux |
Canal situé à la partie inférieure d’un pan de toiture pour en recueillir les eaux et les évacuer par des gargouilles ou des tuyaux de descente. |
Chevetre |
C’est une pièce de la trémie d’une charpente. Cette pièce se place entre deux solives, que l’on appelle alors solive « d’enchevêtrure », pour ménager une ouverture. |
Chevron |
Pièce de bois reposant sur les pannes et placée suivant le sens de la pente du toit. Le chevron supporte les liteaux ou les. L’ensemble des chevrons d’une charpente constitue le chevronnage. |
Ciment |
C’est un mélange de chaux (65 %), de silice ( 20 %), d’alumine ( 10 %) et d’oxyde de fer ( 5 %) -sans eau-. |
Cisaillement |
Contrainte mécanique appliquée de manière parallèle ou tangentielle à une face d’un matériau, par opposition aux contraintes normales qui sont appliquées de manière perpendiculaire. |
Claire-voie |
C’est un ouvrage composé d’éléments qui laissent passer le jour : fenêtre, balustrade, paroi ajourée, baie, arcature, etc. |
Cloison |
C’est une séparation qui se fait dans un appartement, dans une maison, en maçonnerie, charpenterie ou menuiserie. |
CoBAT | Code Bruxellois de l’Aménagement du Territoire |
CoDT | Code Wallon de l’aménagement du Territoire |
Compartimentage |
Compartimenter permet d’empêcher la propagation du sinistre a l’ensemble du bâtiment, et de préserver les personnes et les biens. Cela consiste, à diviser un bâtiment en différentes zones et ainsi diminuer les risques de propagation de l’incendie. |
Compression |
Contrainte appliquée aux deux extrémités d’un objet et qui le comprime. |
Console |
Support en bois, de forme triangulaire, fixé au mur sur lequel repose des pièces de charpente. |
Contrecloison |
C’est une cloison placée contre un mur existant (généralement un mur extérieur) et qui ne propose qu’une face de plaque de plâtre. |
Contrecolle |
Ces panneaux sont utilisés pour les murs porteurs, la toiture et les planchers en étage. Ils sont composés de planches en bois massif disposées en couches croisées dont le nombre dépend de l’utilisation et de l’épaisseur souhaitées (3, 5 ou 7 couches). |
Contre-fiche | Pièce inclinée reliant l’arbalétrier au poinçon. |
Contreventement |
Le rapport entre des appuis stables des efforts horizontaux appliqués à la construction pour en assurer la stabilité. |
Corbeau |
C’est un élément saillant d’un mur. En structure intérieure, il permet de soutenir une poutre, une voûte, un arc ou une statue. En structure extérieure, il est utilisé pour supporter un toit, une corniche un élément en encorbellement (l’un et l’autre sont issus de l’ancien français corbel qui désigne le volatile, le corbeau qui se perche en haut de mur), ou autre avant-corps. |
Corniche |
C’est une structure décorative qui est située en couronnement des murs périphériques d’un édifice et notamment en ceinture des toitures. |
Cornière |
Barre profilée, généralement métallique, à section composée de deux branches, appelées ailes, égales ou non et, le plus souvent, perpendiculaires. |
Coupe |
Une vue qui représente un bâtiment coupé par un plan vertical. Dans cette vue, chaque élément coupé par le plan est représenté par une ligne en gras. |
Cremone |
Dispositif de verrouillage des vantaux de fenêtres ouvrant à la française, constitué de tringles actionnées par une poignée et guidées par des conduits. |
Crépis |
C’est un enduit qui se fait sur une muraille avec du mortier ou du plâtre et qu’on laisse raboteux (relief, picot) au lieu de le rendre uni. |
Croupe |
Petit versant de forme généralement triangulaire situé à l’extrémité d’un comble, entre deux arêtiers. |
Cuivre | Matériau de couverture. |
Cylindre |
Pièce de forme cylindrique dans laquelle on introduit la clé. Le barillet appelé aussi canon amovible existe en différentes longueurs. |
Dauphin |
Tuyau généralement en fonte, placé en partie basse d’une descente. Autrefois son extrémité inférieure recourbée était souvent façonnée en forme de tête d’animal (dauphin notamment). |
Déblais | Terres qui sont évacuées |
Décibel | Unité de mesure de l’intensité sonore. |
Dégraisseur |
C’est un réservoir généralement en béton dont le volume intérieur est divisé en trois compartiments par des cloisons verticales. Les eaux chargées de graisse sont séparées des matières grasses sur le principe de la différence de densité de ces deux composants (eau/graisse). |
Densité |
C’est une grandeur physique qui caractérise la masse d’un matériau par unité de volume. Son unité est le kg/m3. |
Déphasage thermique |
C’est la capacité des matériaux composant l’enveloppe de l’habitation à ralentir les transferts de chaleur, notamment du rayonnement solaire estival. |
Diba | Membrane d’anticapilarité. |
Dormant |
Elément fixe de la fenêtre qui est, le plus souvent, solidaire de la maçonnerie dans laquelle il est installé. |
Eaux grises |
Eaux usées domestiques faiblement polluées (par exemple eau d’évacuation d’une douche ou d’un lavabo). |
Eaux vannes |
Eaux d’évacuation domestiques entrainant les sous-produits de la digestion tels que les matières fécales et l’urine. |
Ebrasure |
Sur une partie latérale d’une fenêtre, c’est la distance entre la position intérieure de ma la menuiserie et la position extérieure de l’ouverture dans le mur. |
Echantignolle |
Cale prismatique en bois clouée sur l’arbalétrier et dont le rôle est de soutenir les pannes intermédiaires. |
Echarpe |
C’est une pièce en bois qui se trouve dans la diagonale d’un élément de mur pour lui procurer une résistance supplémentaire appliquée dans son plan. |
Echelle |
C’est le rapport entre la mesure réelle et la mesure de sa représentation |
Elévation |
C’est la représentation d’une façade. C’est la vue la plus commune pour représenter l’aspect extérieur d’un bâtiment. |
Empierrement |
C’est une couche de caillasse/ briquaillon (pierres concassées) permettant de renforcer l’assise sur le sol terrassé. |
Enduit |
C’est une couche de mortier appliquée sur un mur ou en extérieur sur le manteau d’isolation de ce mur. |
Engravure |
Rainure réalisée dans une paroi et destinée à recevoir une bande de solins ou tout autre matériau d’étanchéité. |
Entrait |
Pièce horizontale qui repose à ses deux extrémités sur le sommet des murs gouttereaux. |
Entrepreneur |
Personne ou société réalisant les travaux. Accès à la profession requis. |
Entretoise |
C’est la pièce en bois qui maintient l’écartement entre deux montants ou solives. |
EPDM |
Matériau composé de polymère utilisé comme revêtement de toiture. Ces terpolymères amorphes sont obtenus en copolymérisant dans des proportions variables l’éthylène (le terpolymère contient de 60 à 85 % de motifs éthylène) et le propylène, avec un faible taux de diène non conjugué. |
Escalier |
C’est une construction architecturale constituée d’une suite régulière de marches, ou degrés, permettant d’accéder à un étage, de passer d’un niveau à un autre en montant et descendant. |
Essais de sol |
Cela consiste en général à forer 3 trous dans le sol, répartis sur emprise au sol du futur projet. |
Etanchéité |
Ce sont les moyens mis en œuvre pour s’assurer que les éléments naturels extérieurs (pluies, humidité ascensionnelle, vent) ou intérieurs (air saturé en humidité) ne viennent pas mettre en péril les éléments constitutifs du bâtiment (Structure, isolation). |
Etat des lieux |
Ce document est particulièrement utile lors d’un sinistre ou accident survenu sur le chantier afin d’avoir un état avant travaux et déterminer ainsi les diverses responsabilités. |
Faitage |
Arête longitudinale supérieure formée par la rencontre de deux versants de toiture. Par extension, désigne l’ensemble de la partie supérieure d’un comble. |
Faux-plafond |
C’est un élément plan fixé sous une structure porteuse (plancher, toiture, poutres) et formant avec elle un espace fermé (plénum). |
Ferme |
Ouvrage, le plus souvent de forme triangulaire, constitué de pièces assemblées. |
Fermettes | Petites fermes dont les sections de bois sont faibles. |
Fiche |
Organe de rotation de petite dimension pour menuiseries en bois, composé de deux parties munies d’embouts filetés. |
Fibro-ciment |
C’est un matériau constitué d’un complexe de fibres d’amiante dispersées dans un liant hydraulique qui est du ciment. |
Flambement |
Phénomène d’instabilité d’une structure élastique qui pour échapper à une charge importante exploite un mode de déformation non sollicité mais opposant moins de raideur à la charge. |
Flèche |
C’est la distance verticale mesurée par la déformation de la poutre à partir de sa position non chargée jusqu’à sa position chargée. |
Flexion |
Contrainte appliquée en deux points éloignés mais dans des sens opposés. |
Fosse-septique |
C’est un réservoir en béton ou en PVC dont le volume intérieur est divisé en deux compartiments par une cloison verticale. |
Fréquence | C’est le nombre de périodes par unité de temps. |
Gite |
C’est une pièce de bois du plancher portant le support de revêtement de sol et, éventuellement, le plafond. |
Gouttière |
Canal en métal ou en matière plastique, fixé à la base de l’égout d’un toit pour recevoir et canaliser les eaux pluviales. |
Grenier | Comble accessible non habité. |
Helmholtz |
Pour absorber les médiums (300Hz à 1000Hz) Ils sont constitués de cavités de différentes tailles qui « piègent » et absorbent l’énergie. |
Hertz | Unité de mesure de fréquence. |
Hourdis |
Eléments préfabriqués en béton, dont l’intérieur est creux. Une armature en métal est intégrée au moment de la fabrication. |
Huisserie |
Cadre en bois, en métal ou en PVC, fixé à la maçonnerie (par des pattes à scellement ou des équerres) et sur lequel s’articule le vantail de la porte. |
Hydrofuge |
Produit destiné à obturer les pores des mortiers et bétons afin d’en améliorer l’imperméabilité. |
Implantation |
Ce plan qui précise ou doit venir s’implanter le projet sur le terrain. Ce plan précise aussi les éléments existants, les limites du terrain, les accès et cheminements, les plantations prévues, etc. |
Imposte | Châssis fixe ou mobile, vitré ou non, situé au-dessus d’une fenêtre. |
Infrason |
Ce sont des ondes sonores de basse fréquence. Ils sont habituellement situés sous le seuil de la limite moyenne des sons graves perceptibles par l’oreille humaine (soit entre 0Hz et 16 à 20 Hz environ), les sons sont trop graves. |
Isolation | Ensemble des matériaux utilisés pour isoler. |
Joint | Garniture en diverses matières assurant l’étanchéité d’un assemblage. |
Joue |
Face latérale d’une lucarne, souvent de forme triangulaire. Elle peut être maçonnée ou composée d’un panneau de remplissage fixé sur une ossature en chevrons. |
Judas | Petit tube cylindrique placé dans l’épaisseur de la porte d’entrée. |
Lagunage | C’est une technique naturelle d’épuration des eaux fondée sur la déseutrophisassions. |
Lambda |
Représente la conductivité thermique du matériau. La conductibilité est la propriété des matériaux à propager la chaleur. |
Lambourde |
C’est un produit rectangulaire du sciage du bois qui a une épaisseur comprise entre 26 et 45 millimètres et une largeur comprise entre 65 et 105 millimètres1.. |
Lamellées-collées |
C’est un assemblage par collage à plat et à fils parallèles de plusieurs lamelles de bois massif. |
Lanterneau |
Désigne une petite construction, établie sur une toiture et dont les ouvertures permettent d’éclairer et de ventiler les combles. |
Lasure |
C’est un produit pigmenté microporeux, transparent non pelliculaire, qui rehausse et conserve l’aspect du bois sans bloquer les rayons UV du soleil. De plus il empêche le noircissement naturel du bois. |
Linteau |
Elément architectural qui sert à soutenir les matériaux du mur au-dessus d’une baie, d’une porte ou d’une fenêtre. |
Lisse |
C’est la traverse de bois fixée au-dessus des traverses hautes des éléments de mur. Elle sert à assurer la liaison et le transfert des efforts entre les murs et le plancher haut ou la charpente. |
Long-pan |
Versant le plus long d’une toiture délimité à son sommet par le faîtage et à sa base par l’égout. |
Loqueteau | Dispositif de verrouillage des petits châssis ouvrants. |
Lucarne |
Surélévation locale de la toiture destinée à la mise en place d’une fenêtre (voir chapitre n°6 pour des définitions complémentaires). |
Madrier |
Cette technique consiste en la pose horizontale de pièces de bois de façon à former un mur en bois massif d’une épaisseur pouvant aller de 5,6 cm à 9 cm dans nos régions. |
Meneau |
Division d’une fenêtre composé d’un autre matériau que le celui du châssis. |
Mesurage | Ensemble des mesures d’un levé (terrain, bâtiment, pièce…). |
Métré |
Liste des quantités des matériaux mis en œuvre, démolis, démonter, etc. lors du projet. Il s’agit de compter la quantité de chaque matériau il faudra (métrage en mètres carrés de plafonnage, de tuyaux, de carrelages…). |
Microstation |
Une mini-station d’épuration est un réservoir en béton ou en PVC dont le volume intérieur est divisé en trois compartiments. |
Module |
Ce sont les volumes composés d’éléments (murs, planchers, toitures) fabriqués et, éventuellement, entièrement équipés en usine (aménagement intérieur incorporé). |
Monomur | Mur composé d’un seul matériau. |
Montant |
C’est une pièce de bois verticale d’un élément de mur. Les montants peuvent être espacés de 30,40 ou 60 cm. |
Moodboard |
Aussi appelé planche de tendances, est un type de collage qui peut être composé d’images, de texte et d’objets selon le choix de son créateur. L’idée c’est de créé un planche d’inspirations. |
Mortier |
C’est un mélange de sable, de ciment (ou de chaux) et d’eau (de gâchage). |
Neopor |
C’est un alliage de styrène et de graphite de granit. Il travaille par thermo-réflexion et est 30 % plus isolant que du polystyrène. |
Noue |
Arête rentrante inclinée formée par la rencontre de deux versants de toiture. C’est la ligne de rencontre des eaux de ruissellement. |
Oléothermie | Traitement du bois par imprégnation d’huile végétale. |
Oriel | Ensemble de menuiseries disposées en saillie sur un mur de façade. |
Oscillo-battant |
Fenêtre à un ouvrant disposant de deux modes d’ouverture différents : à la française et à soufflet. |
Ossature |
C’est l’ensemble des montants, traverses, solives et entretoises composant un plancher ou l’ensemble des pannes, entraits et arbalétriers composant la charpente. |
Ouvrant | Cadre mobile d’une menuiserie. |
Padouk |
Arbre d’Afrique tropicale et d’Asie, à bois rouge corail ou violacé, mais passant rapidement à la lumière. |
Paille | Tige de graminée, en particulier de céréale, dépouillée de son grain. |
Panneresse | Une brique entière |
Pannes |
Pièces de bois horizontales prenant appui sur les fermes et/ou sur des murs porteurs en maçonnerie. Les pannes portent les chevrons. |
Parclose |
Petite baguette en bois ou profilé de faible section en métal ou en PVC servant à maintenir le vitrage dans les feuillures d’un châssis ouvrant ou dormant. |
Pare-pluie |
C’est un panneau ou film empêchant la pénétration de l’eau de condensation ou de ruissellement dans l’intérieur du mur. |
Pare-vapeur |
C’est un panneau ou film empêchant la pénétration de la vapeur d’eau. Toujours placé du côté « habitat » des murs. |
Paroi | Surface apparente d’un ouvrage de bâtiment. |
Paumelle |
Accessoire de rotation des fenêtres, portes-fenêtres et portes, composé de deux branches, l’une mâle et l’autre femelle. |
Pergola |
Petit ouvrage de charpente indépendant ou adossé à une habitation constitué de poteaux supportant des traverses disposées à claire-voie. |
Perméabilité |
C’est la quantité de vapeur d’eau qui traverse en une heure un mètre carré de matériau sur un mètre d’épaisseur pour une différence de pression partielle de 1 mmg de Hg entre les deux faces. |
Persienne |
Ouvrage de fermeture en bois, en métal ou en PVC constitué de plusieurs lames (parties mobiles de faible largeur), reliées entre elles par des paumelles. |
Perspective |
Les projections isométriques et axonométriques sont des façons simples de représenter un objet tridimensionnel, en gardant les éléments à l’échelle, et en montrant les relations entre les différents côtés du même objet. |
Perspirance |
Une paroi formée de matériaux qui vont favoriser l’évacuation de l’humidité sous forme liquide (capillarité) ou sous forme de vapeur (perméabilité à la vapeur d’eau). |
Pieux |
Elément de construction en béton, acier, bois ou mixte permettant de fonder un bâtiment ou un ouvrage. |
Pise |
C’est un système constructif en terre crue, comme la bauge ou le torchis. On le met en œuvre dans des coffrages, traditionnellement appelés banches. La terre est idéalement graveleuse et argileuse, mais on trouve souvent des constructions en pisé réalisées avec des terres fines. |
Plafond |
Face inférieure, plane dans l’ensemble, d’un plancher, formant la limite supérieure de l’espace d’un local. |
Poinçon |
Pièce verticale, souvent de section carrée, qui sert de lien entre l’entrait et les arbalétriers. |
Polyuréthane |
Polymère renfermant dans ses chaînes des fonctions uréthanne ou carbamate de structure. Très bon isolant. |
Porte |
Baie, munie d’un dispositif de fermeture, donnant passage à l’intérieur comme à l’extérieur d’un lieu fermé ou enclos. |
Poutre |
Support horizontal allongé en bois, en métal ou en béton armé, de section étudiée pour une bonne résistance à la flexion. |
Précontrainte |
État d’une pièce ou d’un organe subissant au repos une contrainte nécessaire à son bon fonctionnement ultérieur ; cette contrainte elle-même. |
Profile |
Pièce métallique laminée, fabriquée avec un profil déterminé et de section uniforme. |
Quincaillerie |
Ensemble des pièces de connexions, accessoires, poignées… d’une menuiserie. |
Radier |
Dalle armée réalisée sous toute la surface du bâtiment. Le radier permet une répartition homogène des charges sur des terrains généralement instables. |
Réflexion |
C’est le brusque changement de direction d’une onde à l’interface de deux milieux. |
Regard |
Boîte enterrée de forme parallélépipédique ou cylindrique en béton ou en PVC fermée par un couvercle. |
Remblais |
Ce sont les terres additionnelles ajoutées sur le terrain. Lorsque le déblai se situe en dessous du futur bâtiment, le remblai sera renforcé par des couches de sable stabilisé. |
Rectification |
Le bois rétifié est du bois ayant fait l’objet d’un processus de rétification, une forme de réticulation par traitement thermique à haute température (les abaques de traitement varient selon l’essence) sous atmosphère inerte. |
Réverbération |
C’est la persistance du son dans un lieu après l’interruption de la source sonore. |
Rive |
Extrémité latérale d’un versant. La rive est droite si elle est perpendiculaire à l’égout et biaise dans le cas contraire. |
Roofing |
Utilisé dans le jardon pour désigner un revêtement de toiture bitumineux comme du Derbigum. |
Sabot | Pièce métallique d’assemblage. |
Sapin | Essence de bois utilisé couramment en construction. |
Serrure | Mécanisme qui permet de condamner l’ouverture d’une porte. |
Seuil Suisse |
Profilé métallique placé en partie inférieure de la porte qui assure l’étanchéité à l’eau et à l’air par compression d’un joint souple. |
Solin |
Garnissage étanche en mortier réalisé sur la ligne de rencontre d’un versant de toiture et d’un mur. |
Solive |
C’est une pièce de bois du plancher portant le support de revêtement de sol et, éventuellement, le plafond. |
Soubassement |
Partie inférieure, massive, d’une construction, qui surélève celle-ci au niveau du sol. |
Sous-traitant |
Entreprise qui travaille pour l’entrepreneur, ce qui implique que cette entreprise sous-traitante possède comme client l’entrepreneur et non le maître d’ouvrage directement. |
Survitrage |
Vitrage rapporté sur un simple vitrage existant de manière à créer un double vitrage. |
Tasseaux |
Un tasseau est une pièce en bois, le plus souvent longue et relativement fine. Sa section est carrée ou rectangulaire. |
Terrassements |
C’est le travail consistant à déplacer des quantités importantes de matériaux (sols, roches, sous-produits, etc.) |
Terrasson | Versant supérieur du comble, peu incliné. |
Terre arable |
C’est la couche supérieure du terrain (env. 20-30cm). C’est la terre la plus favorable aux cultures potagères. |
Thermowood |
C’est le résultat d’un processus innovant axé sur un traitement à chaud. Les modifications thermiques augmentent la durabilité du bois et améliorent sa qualité. |
Toit |
Ensemble des parois inclinées et/ou horizontales (dans le cas d’une toiture-terrasse) qui couvrent une construction. |
Torsion |
Contrainte entrainant une rotation d’une partie d’un objet. Une contrainte de torsion va entrainer une déformation sur toute la longueur de l’objet. |
Traction | Contrainte appliquée pour étirer un objet. |
Transmission | Propagation de l’onde sonore dans un matériau. |
Traverse |
Ce sont des pièces en bois horizontales encadrant les montants verticaux des éléments de mur. |
Trémie |
Espace réservé dans un plancher (cf. linçoir, chevêtre) pour laisser passer un escalier, un ascenseur, un conduit, une cheminée… |
Trespa |
C’est un matériau plastique réalisé à base d’ingrédients naturels. Les anneaux se composent d’une couche de fibres de bois, qui sont pressées avec une couche supérieure dure et impénétrable sur les deux faces. |
Trumeau | La partie d’un mur, d’une cloison comprise entre deux baies. |
Tuile |
Pièce d’argile ou de béton moulé, généralement mélangée à du sable, cuite au four, peu épaisse, de forme variable, employée pour couvrir les toits des bâtiments, des maisons. |
Ultrason |
Ce sont des ondes sonores de haute fréquence. La gamme de fréquences des ultrasons se situe entre 16 000 et 10 000 000 Hertz, trop élevées pour être perçues par l’oreille humaine, les sons sont trop aigus. |
Vantail | Cadre mobile d’une menuiserie. |
VCRO | Code flamand de l’aménagement du territoire |
Verrou |
Petite serrure en applique. Le pêne est actionné de l’extérieur par une clé et de l’intérieur, le plus souvent, par un bouton. |
Versant | Pan incliné d’une toiture. |
Vitrage |
Remplissage en verre des châssis ouvrants et des châssis dormants des fenêtres et des portes-fenêtres. |
Volet |
Ouvrage de fermeture constitué de panneaux articulés en bois, en métal ou en PVC, placé à l’extérieur de la baie. |
Ytong | Marque de blocs béton cellulaire |
Zinc |
Métal brillant, d’un blanc bleuâtre, ductile et malléable (symb. Zn, noatomique 30), que l’on trouve dans la nature sous diverses formes et qui connaît de nombreux emplois. Zinc carbonaté, oxydé, silicaté, sulfuré ; chlorure, oxyde, sulfate, sulfure de zinc; minerais, sels de zinc; composé de zinc; extraction, laminage du zinc; fonderie, mine de zinc. |
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